L’histoire du génocide, comme celle de la politique française à l’époque reste à compléter : L’enquête du juge Trévédic établit en effet que les tirs qui, le 6 avril 1994, ont abattu le Falcon 50 du président rwandais Juvénal Habyarimana sont partis du camp militaire de Kanombé, tenu par l'armée officielle, censée protéger le chef de l'Etat (AFP)
Pour mémoire on relira les rapports sur les évènements faits par l’Assemblée nationale française (1998)
http://www.assemblee-nationale.fr/dossiers/rwanda/r1271.asp
et, Outre-Quiévrain, par le Sénat belge (1997)
http://www.senate.be/www/webdriver?MIval=/publications/viewPub.html&COLL=S&LEG=1&NR=611&VOLGNR=7&LANG=fr
La ligue des Droits de l’homme éclaire plus crument les origines du drame.
http://www.ldh-toulon.net/spip.php?rubrique206
La Minuar était commandée par un général canadien, Roméo Dallaire qui s’illustra en 1994 par ses tentatives (vaines) d'attirer l'attention de la communauté internationale sur les crimes qui se perpétraient au Rwanda.
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Dossiers/rwanda/
La Documentation française élargit son dossier au conflit des Grands Lacs.
http://www.ladocumentationfrancaise.fr/dossiers/conflit-grands-lacs-index.shtml/conflit-grands-lacs-introduction.shtml
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